• Cassandre  Harpeur

       Je haïssais ce nom enfant: Cassandre. Ma soeur Moira se moquait de moi. Mais je supportait, attendant ma vengeance. De ma vie je n'aimait rien. Ainsi en grandissant je me suis mise à apprécier le goût de sang. C'est de cette manière qu'avec le temps ma grande tante me remarqua.

    Maritine Harpeur était crainte par tous, grâce aux pouvoirs qu'elle possédait. C'était une magicienne très puissante et très belle. Elle m'enseigna une partie de son savoir. Malheureusement mes parents décidèrent, lorsque que j'eus atteint mes 16 années de me marier. Mon apprentissage fût interrompus et mon maître me remplaça. Pourtant jamais je ne lui en voulu. Je sauvegardais ma haine pour cette petite fille qui avait eu l'audace de prendre ma place.

    Son nom était Harmonia,Harmonia Amélina. On la rebaptisa Artémis Harper quand Maritine l'adopta. Cette maudite orpheline avait environ cinq ans. Je la voyais souvent puisque je rendais fréquament visite à sa nouvelle  mère. Etrangement, plus je la détestais plus elle s'obstinait à m'apprécier. L'idiote vint même jusqu'à m'adorer. Je jouais le jeu. Tout le monde trouvais ça adorable, enfin surtout ma grande tante. On ne m'accablait pas de reproche parce que j'étais stérile. On me voyait comme l'aînée, l'exemple d'un petit être fragile et mignon. Ma famille fût si naïve de croire cela.

    La gamine avait, il  faut l'avouer, un grand potentiel magique. C'était presque inhumain. Je rageait en la voyant, dans sa toge brune, ses cheveux nattés avec des files d'ors et parée de rubis, devenir la fierté de mon ancien maître.

    Puis Maritine mourût. Elle rejoignit dans sa fin le fluide énergétique qu'elle vénérait. J'était contente pour elle et surtout pour moi, car l'insouciance était une tare familiale... Je croyais pouvoir m'attaquer à sa protégée. Bien sûre, je me trompais. Harmonia pris le nom d'Atermis Harmonia Amélina-Harpeur, prétendant vouloir rendre hommage à sa famille de sang comme à sa famille de coeur. Menteuse. Tous le monde savait quel mentait mais on ne dis rien. C'était devenu une magicienne assez puissante pour les réduire en cendre Et elle en était bien capable. Seul ma personne était immunisée de ce genre d'accident grâce à mes rudiments de magie ainsi qu'à la stupide affection qu'elle me portait, Maritine quand à elle n'était plus de ce monde, laissant son apprentie livrée à elle même.

    Un jour ma vie bascula. Mon mari me trompait. Vous savez, je ne savais pas quoi faire. J'aurais dû le tuer. Je n'ais rien fais. Je me suis contentée de l'observer se faire ma mère: Lila Sore-Harpeur. Ses longs cheveux bruns volaient autour de son corps de métis, qui ondulait sous les coups de reins de mon fidèle époux. J'ai crus mourir en voyant cela. 

    Lorsque enfin les deux amants s'aperçurent de ma présence, j'eus de chacun une réaction différente. Ma génitrice fondit en larme. Lucien me fit un sourire. Ce sourire était si malsain, que j'en ais encore peur. C'était horrible. Je ne voulais plus être madame Esther; je voulais nous retrouver, moi et mon honneur. Je n'ais rien dit. Je suis restée sa femme et ma mère sa catain. Plus jamais il ne m'a retouché. J'étais brisé, salie et vide.

    Un soir je me suis taillée les veines. Un torrents carmin s'est échappé de mes poignets. Le sang a tant coulé que je me suis noyée dans ma bêtise. je suis morte dans le néant qui m'avait envahis.

    Le jour d'après je renaissais.

     

    Moira Harpeur;

    .  Je n'étais rien depuis ma petite enfance. Je m'en contentais. Je n'aimais pas être remarquée. Cela ne n'empêchait pas ma jalousie maladive de me mettre face à la lumière de mes désirs. Petite j'étais grosse et laide, en vieillissant la beauté me vînt. Mais pas autant qu'a mon aînée. Personne ne résistait a ses yeux bleus glace et ses cheveux cuivrés. Les gents se fascinais par l'aura sérieuse qu'elle dégageait. Moi je n'étais que la dernière, la petite soeur... Alors je me moquais d'elle. 


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  •  L'eau limpide reflète tel un miroir

    L'âme pure et argenté

    De la beauté aux milles espoirs

    De nos rêves éveillés

     

    Belle lune, reine de nuit

    Tu gouverne ton ciel

    Demoiselle aux allures irréelles

    Apportant avec elle la vie

    ( Ange Esmorte les yeux clef de l'âme)

     

     


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  • Il était une fois une fille. Elle s'appelait Aléandra, ou Léandra. Elle restait vague sur son nom. Cette enfant, cultivait autour d'elle l'art du secret... Ceci attirait l'attention des gens et  elle aimait être remarquée.  Son apparence singulière ne laissait pas nom plus de marbre les passants. Une peau laiteuse lui avait été attribué, celle-ci sur un corps filiforme. Ses cheveux étaient d'un roux flamboyant et ils encadraient son visage ovale et sans défaut. Ses yeux possédant une couleur captivante, celle du sang...

     


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